HAINE NATUREL
HAINE NATUREL
je la haïssait, depuis la première fois que je l'avait vu je savais que je la haïssait et je la hais depuis et je continuerais de la haire no stop, bon c'est vrai que comme sa comme vous m'entendre parler en dirait que je suis sans coeur mais non je m'entend bien avec tout le monde mais quand je suis arrivé dans cette entreprise je connaissait déjà beaucoup de monde des amis, amies enfaîte je me suis tout de suite liés avec tout le monde et pis comme c'était une petite société on fessait souvent des fêtes, enfaîte on en fessait plein vu que c'était aussi mes amis mais je ne pouvais la supporter j'y était obliger et elle ressentait la même haine pour moi, je ne sais pas sa doit être naturelle on est chacun d'un genre il existe des milliers de genre mais certains sont fait pour se détesté c'est comme l'âme soeur il y a l'âme hostile mais si je pense que c'est plutôt le genre soeur et le genre hostile .
>Mais le problème était de la supporter chaque réunion chaque fois qu'on parlait j'avais l'impression qu'elle me lançais des piques et moi je fessait pareille, nous menions une guerre invisible se tramais entre nous deux personne ne savais qui allait gagner mais je l'attaquais sans relâche et j'étais heureux le soir quand je rentrais seul chez moi je n'avais ni femme ni gosses pour m'embêter mais le problème c'est qu'on était a égalité sur ce point, elle vivait aussi seul, et les jours passaient je fessais mon boulot, j'étais heureux de rentrer le soir, me prenait des piques d'elle et allait au cinéma tout les vendredi soir et mardi soir, je lisait des livres et je passait mes journées a bosser comme un dingue et essayais de ne pas penser a elle mais il m'arrivais souvent de me surprendre en train de concocter une phrase pige que seule elle comprendrait, et je prenait un plaisir fou à les utiliser contre elles et a me préparer contre ses attaques bien sur dé fois c'est elle qui l'emportait mais je me ressaisissait alors pour mieux la battre .
Un jour, lors d'une fête, banale comme on en fait souvent avec le comité d'entreprise c'est sympa, et pis sa nous rapproches on était en montagne dans le nord de l'es pagne vers les Pyrénées, dans un espèce de chalet qu'il construise en série dans les alpes et qui ons du amener le surplus ici, donc nous étions chez un ami et il avait mis de la musique, il y avait un buffet j'avais amener une tarte acheter toute faite et une salade mal faite . il y avait un buffet alors que je reprenais de la sangria ( je n'avais pas beaucoup bu d'alcool ) pour autant et j'aimais mieux boire du Sprite mais l'important n'était pas la, et alors que nous dansions diverse musiques, un ami ( parce que une amie aurait jamais pris cette initiative ) mis un solo, alors les couples se mirent en semblent et comme beaucoup de fois je me retrouvait face à elle, il y avait d'autre personne célibataire il n'y en avait qui ne dansait pas mais nous nous m'étions toujours ensemble la dernière fois je lui avait piétiné les pieds comme un dingue en prétextant que je ne savais pas danser, mais elle de son coté avait tiré mais cheveux comme quoi elle c'était bloqué les doigts dedans alors qu'il était typer court mais il me semble que j'avais moins souffert qu'elle et je contait re-gagner alors je m'approchait d'elle pour qu'on danse, alors la elle me susurra très étrangement :
" - ne me marcher pas sur les pieds cette fois-ci ." comme d'habitude elle me vouvoyais mais le fait qu'elle prenne ce ton me déstabilisa presque mais je me ressaisi tout en passant mes long bas ( j'ai toujours eu des longs bras ou est eu cette impression ), et je répondis du même ton qu'elle :
>" - ne vous emeler pas vos doigts dans mes cheveux cette fois-ci ." mince elle n'avait pas réagi, non elle avait fait semblant mais moi aussi .
le solo se déroula bizarrement, je pris bien la peine de ne
pas marcher sur ces pieds, j'avais pris cette habitude, mais je
pinçais avec ceux ci les siens pour montrer que j'étais
encore là, elle tirait doucement mais fortement sur mes
cheveux, comme sa cela pouvais parraitre doux provoquant, une drague
par la douleur, mais non c'était un concentrer de haine, mais
à la fin à ma surprise elle commença a
m'embrasser je vu surpris mais tout de suite je pensa a mordre sa
langue que j'avais laissé découvrir ma bouche, je
commençais a resserrer l'étau sur sa proie quand elle
retira très rapidement la proie, elle avait flairé le
piège d'ailleurs je ne comprenait pas encore le sien et la
elle me regarda dans les yeux et me dit "je t'aime", dans
ma tête je comprenais son plan de me bouleverser mais avec son
regard je finie par la croire et sorti dehors seul à l'air
libre, elle ne me suis pas mais me susurra une deuxième fois
la même phrase et dit que c'est vrai .
Alors la je me
demande que faire, et je voir rapidement plusieurs solutions :
- profiter de ce qu'elle dit pour la faire souffrir même si sa peu êtes un piège ( sa souffrance a utiliser contre moi )
>- me suicider de désespoir ( je sais sa parait idiot mais cela me vient à l'esprit )
<>- partir en courant et m'enfuir de cette entreprise et ne plus me poser de question
<>- être avec elle
<>- ne faire comme si de rien était ( ou choisir de laisser le reste choisir )
<>- d'aller ce coucher, la nuit porte conseille
- d'aller picoler l'alcool porte conseille
- d'aller nul part, je sais pas quoi faire ?
- de tout balancer sur le tapis comme quoi je la haie ( et faire les règlements de compte avec ma paie de merde )
- manger du chocolat ...
...
j'avais beaucoup d'idées mais je ne savais pas trop la quel choisir, alors je décidais de compter chacun d'eux et de mesurer mes possibilités .
ELLS mercredi 21 septembre 2005