ruban et chapeau

14 h 34, je me coiffe, met délicatement un ruban dans mes cheveux, c'est la mode .

14 h 35, je change de couleur de ruban, celui si va mieux avec la robe

14 h 36 je change encore de ruban .

14 h 38 finalement je décide de changer de robe, pour qu'elle aille avec le ruban

14 h 59 je me demande si c'est la robe ou le ruban qui fait office d'accessoire ?

15 h 00 je me met à discuter avec ma copine présente, sur les vêtements ...

15 h 37 la sonnette crie .

15 h 37 je me rappel que je n'attend personne,

15 h 37 j'ouvre ma bouche pour dire quelque chose à mon amie : " tu attend

15 h 38 quelqu'un ? "

15 h 38 elle ouvre la bouche prononce doucement " non, mais peu être toi "

15 h 39 et elle sourit, ricane un peu, moi aussi

- Lorsqu'on regarde des films réprésentant l'époque à laquel nous sommes, on pourrais avoir l'impression que la jaccasserie et les réactions des femmes étaient toutes puériles et démesurés -

15 h 40 je m'approche de la porte ma copine est derrière moi

15 h 40 nos coeurs battent malgré que nous savons, que c'est sûrement rien de spéciale .

15 h 40 ma main tremblante s'approche de la porte .

15 h 40 celle ci se referme sur la poignée en métal froid, elle embrasse la poignée

15 h 41 pour finalement la descendre tout doucement

15 h 41 déclique, la porte s'entrouvre imperceptiblement le reste est fait par une force horizontale contre la porte

15 h 41 la porte est entièrement ouverte, je peux voir la personne qui se dresse en face de moi .

Le soleil découpe bien sa silhouette, on pourrais même croire à une apparition, en fond on discerne le jardin avec ces arbres,sa pelouse bien tondue et ces quelque fleurs, on peu même voir si on se concentre et fait abstraction du soleil les faces des maisons en bois peintes en blanc .

C'est un homme bien bâtie, fort plaisant du regard, les vêtements inhabituel par l'absence de couleur telle que le noir,le blanc ou le marron et gris ne blesse pas l'oeil est son même douce à celui-ci, les chaussures forment un tout avec les vêtements mais elles n'ont que pour importance de ce déplacer sans difficulté et non pas de plaire .

Sa peau est blanche sans être terne pour autant, on arrive à distinguer des poils sur les avant-bras, nus, mais on ne peu deviner leur couleur à cause du soleil qui les rend clair, sans doute un des élément qui font ressortir le personnage, dans sa main droite son chapeau, on devine qu'il est d'occasion, car trop beau pour être de tout les jours ou le personnage est aisé financièrement, celui ci parait comme le ruban comme important, peu être plus que les vêtements . Dans l'autre main, il y a un bouquet, délicatement choisis, les couleurs en harmonie avec le soleil, le personnage ... et elles sont même les préféré de Rita, des oeillets rouges.

Le visage lui est on ne peu plus commun, lèvre à mis chemin entre le rouge flashant et la couleur de la peau, ne montant ni trop haut, ni trop bas . le nez n'est ni pincé, ni crochue, ni relevé en cochon . Les sourcils ne s'imposaient pas, tout comme les oreilles dont on avait du mal a déterminé si les lobes étaient ou non attachés, les cheveux, courts, coupé à la mode était d'un châtain on ne peu plus banale, cette homme n'avait pour seul particularité de ne pas en avoir, si ce n'est .
Ces yeux, au nombre de deux, possédant chacun une pupille qui se déplaçait lentement, révélant le calme du personnage, était d'une couleur claire, vive, presque brûlante, à cette instant précis il était plus qu'embrasé, on aurait pu croire à un trou partant de ces pupilles et traversant la crane pour rejoindre les rayons de soleil, mais Rita s'aperçut vite que c'était l'immense bonheur de l'instant qui donnait à ces pupilles cette couleur astrale .

15 h 41 les deux petits soleils se posait sur Rita, directement, sans balayer l'espace derrière elle .

15 h 41 les lèvres de l'homme s'ouvre, hésite un temps qu'on pourrais ne pas remarquer mais qui semble éternel au personnage .

15 h 41 " Bonjour ... " Rita n'as le temps de répondre il continu sans s'interrompre comme gonfler à bloc

15 h 41 Je m'appelle William Ferg, je vous aime et je vous cherche depuis des années depuis la première fois que je vous est vue, vous ne me connaissez pas mais moi je vous connais, vous êtes étudiante, à New york, vous aimé les oeillets rouges, allé au cinéma tout les jeudis, raconter des histoires, choisir vos ruban, prendre un jus d'orange le matin après le petit déjeuné, le soir quand vous vous coucher vous récité une prière, tout le temps différentes, vous ne pouvez comprendre pourquoi certains aiment faire du cheval à cause d'une chute à six ans,les cafards vous révulses, vous ne savez tricoter mais vous détesté le faire ... "

15 h 58 alors qu'il reprenais rapidement son souffle, elle l'interrompis " je suis désolé . " elle savait qu'elle venait de tomber amoureuse de lui .

15 h 59 - " vous n'avez pas à être désolé "

15 h 59 - " vous n'avez pas à être désolé "15 h 59 - " si car je vais me marier dans une semaine, je suis déjà fiancé et elle lui montrais sa bague de fiançailles .

Ells le 13 et 14 novembre 2005 " inspiration venant de big fish " .