Conversation avec l'homme du soir 1 / 2
Si l'on devait résumer une philosophie
On l'anéantirait en le faisant.
J'étais chez une amie que je courtisait depuis quelques
temps pour conclure un marché on ne peut plus fructueux.
La soirée se déroulât très bien.
Le marché se déroulât aussi très bien.
Nous baissâmes en plus et ce fut bien.
Mais cela n’était que détail, je trompais ma femme et c'était
bien.
Le soir ou j'avais reçu ma promotion et fait l'amour avec
elle, ce qui n'avait que peu de rapport, je rencontra un homme fort singulier.
Cette homme eu la superbe idée de se jeter sous ma voiture.
Et moi j'eu la mauvaise idée de ne pas l'écraser et de réussir
à ne pas le tuer.
« - Connard. »
Et du talc ou talc je lui demande comment il peut savoir que
je ne suis pas une femme.
"- Parce que t'es un connard et pas une connasse.
- Mouais, vous allez bien ?
- J'ai l'air d'aller bien ?"
L'homme s’était dégagé du dessous de la voiture et n'avait apparemment
rien.
"- Non puisque vous avez sautez sous ma voiture.
- Je vais bien.
- Mais vous avez quand même sautez sous ma voiture.
- ... Je vérifiais juste certaines théories ...
- Comme ?
- Le fait que vous êtes un connard.
- Pourquoi je suis un connard ?
- Parce que vous n'avez pas accéléré, de plus votre moteur
va se casser dans quelques mois, il y a un défaut de fabrication.
- Cela fait de moi un connard ?
- Votre moteur non, le fait que vous ayez pas accéléré oui.
- Vous êtes garagiste ?
- Non je devrais ?
- Bah, un homme qui a priori regarde mon moteur de voiture
et en fait des commentaires, est un garagiste.
- Je suis désolé mais je ne le suis pas.»
Il regarde sa montre, me regarde
" - Désolé mais je suis en retard, je suis obliger de
repousser notre discussion à une autre fois."
Ayant oublier le début et la manière de notre rencontre, je
lui fais mes adieu et pense que cette homme d'affaire (à sa tenue) a un rendez
vous important (à sa tenue).
Je prends congé,
Remonte dans ma voiture,
Oublie l'homme
Et pense à comment je vais annoncer ma promotion à ma femme
se soir et comment on fera l’amour.
J'avais complètement oublier l'homme en costard qui avait
sauter sous ma voiture jusqu'a que l'événement se reproduise.
Je repartais de chez ma maîtresse, car elle était devenu une
maîtresse fréquente, fidèle, assidu et silencieuse.
Soit elle avait quatre qualités rares qui se perdent de nos
jours et qui me conduisait chez elle, Fréquemment je pensais à elle et à l'impression
que j'avais que ma relation avec ma femme allait de mieux en mieux depuis que
j'avais une maitresse quand l'évènement ce reproduisit.
Comme la première fois je sorti de la voiture pour parler à l'homme,
mais ce fut moi le premier à parler :
" Vous allez bien ?
- Connard.»
Je me souviens de cet homme quand il dit connard et je me
souviens aussi qu’une scène semblable s’était déroulée il y a quelques mois.
Je repris sans gêne la discussion
" Ah, vous ! Vous n’êtes pas mort ?
- Non pas encore et vous n’avez pas arrêté d'être un connard
?
- Je ne suis pas un connard.
- Si vous avez ralentit.
- Donc la prochaine fois j'accélère ?
- Si vous voulez ne pas un être un connard oui.
- Dite moi ...
- Moi.
- Je ne trouve pas ça drôle.
- Moi non plus
- Donc je disais que je voul...
- ... Vous venez de dire que vous ne trouviez pas ça drôle
pas que vous vouliez.
- Vous n'êtes toujours pas drole.
- Vous non plus.»
J'arrêtais de parler pour regarder cet homme avec sa rhétorique
à deux balles.
Il avait l'air toujours très sérieux et pourtant disais de
la merde.
C'est là que je me rendis compte qu'il y avait quelque chose
d'insolites à parler de cette manière à une
personne qu'on rencontre chaque fois pour sa tendance à se jeter sur votre voiture
lorsqu’elle roule.
Je repris par une simple question qui s'imposait
"- Vous voulez que je vous tue ?
- Vous auriez du dire " dite moi voulez vous mourir ?"
- Dite moi voulez vous mourir ?
- Moi voulez vous mourir.
- ... Vous pourriez me répondre sérieusement.
- Je sais que je peux.
- Mais vous ne le fait pas.
- Si mais pas comme vous le voudriez.
- Alors répondez par ce que je veux.
- ce que je veux.
- Va te faire voir, répond.»
L'homme ne souriait pas et répondait toujours avec un sérieux
qui aurait rendu ridicule un annonciateur de mort.
Il reprit sur le même air mais en me posant la question.
" Voulez vous mourir ?"
Je fus désemparé par la question, n'y ayant presque jamais
pensé.
Il fut surtout étonnant que je ne répondit pas non.
09/05/07 Ells
Ps: je devrais poster la suite qui n'es pas encore écrite dans la semaine .
La suite est écrite et vous pouvez la lire ici